jeudi 19 décembre 2013

Garfield comics

Auteur : Jim Davis
Editeur : Dargaud
Genre: Humoristique et animalier

Résumé : Parmi les histoires de ce livre, celle que j'ai préférée s'appelle "Objet de collection".
Garfield rêve qu'il est un super héros. Nermal  va trouver un vieux comics book, vaut-il une fortune ?....

Avis personnel : J'ai adoré ce livre, car il y a de l' humour et l'écriture est facile à lire. Il y a plusieurs histoires. C'est pour tous. Les illustrations sont agréables à regarder et elles sont soignées.

20/20                              

Eva

Tamara : Combien ?

Auteur : DARASSE
Illustrateur : ZIDROU 

C'est le quotidien de Tamara une fille complexée par son physique et qui va apprendre que sa mère a un petit ami. Ensemble, avec sa fille Yoli, ils vont vivre plein d'aventures croustillantes à croquer.

Notre avis : L'écriture était facile à lire, l'illustration était belle à regarder. Les histoires étaient marrantes et divertissantes. Nous avons bien aimé quand l'illustrateur et l'auteur se sont représentés à la premier page.

Note : 18/20

Lilas et Alyson         




Zoé & Pataclop

Auteur : du Peloux
Editeur : Bamboo

Résumé : C'est l'histoire d'une jeune fille qui voudrait un cheval. Avec son père, elle découvre un cheval : Pataclop dans un enclos et dit à son père qu'elle le veut absolument ! Elle va vivre pleins d'aventures avec son cheval dans différents endroits et ils vont faire ensemble des tonnes de bêtises...

Mon avis : J'ai bien aimé ce livre car l'histoire était intéressante. Il y a de l'humour mais je trouve qu'il en manque un peu. Le livre était facile à lire mais je n'ai pas trop aimé les illustrations. Je pense que ce livre est pour tous. C'est plutôt animalier et il y a de l'amitié.

Ma note : 16\20.

Marion

mercredi 18 décembre 2013

Princesse Sakura

Auteur : Arina Tanemura
Editeur : Glénat
Genre : Manga,fantastique et adolescence.

Résumé : C'est l'histoire d'une princesse qui s'appelle Sakura, elle a 14 ans. Elle rencontre le prince Aoba. Elle tombe amoureuse de lui. Puis, elle découvre qu'elle est immortelle.
 
Avis : J'ai bien aimé ce livre car j'adore les mangas qui ont de l'action et du fantastique. J'ai trouvé les images belles et le texte est bien écrit.
 
Notes:20/20 

Esmeralda

jeudi 28 novembre 2013

Coup de coeur BD

Les colombes du Roi Soleil t.1

 Auteur : Anne-Marie Desplat-Duc
Illustrateur :  Mayalen Goust
Édition :Flammarion
Adaptation BD

Le genre de ce livre est l'amitié, l'amour et l'adolescence. Ce livre est historique, l'histoire se déroule au temps de Louis XIV. C'est l'histoire de quatre jeunes filles (Hortance, Louise, Charlotte et  Isabeau) dans un pensionnat. Elles vont participer à une pièce de théâtre devant des gens de la noblesse et le Roi Soleil.
L'une d'elle va se faire remarquer par le roi.
Quel est son secret ...

Mon avis : J'ai aimé ce livre car il est intéressant parcequ'il y a du suspense, et l'écriture est facile à lire. C'est plutôt pour les filles. Les illustrations sont très belles et agréables à regarder.  

20/20

Eva




Le premier défi de Mathieu Hidalf

AUTEUR : Christophe Mauri
EDITEUR : Folio Junior

Mathieu Hidalf est le roi de la bêtise. L'année dernière, il avait réussi à faire faire grève aux nymphettes du royaume. Des nymphettes sont des petits animaux imaginaires qui font la lumière dans le château. Cette année, il va essayer de gâcher l'anniversaire du roi mais les six frères Estaffes ont rompu un parchemin rouge et Mathieu devra ruser pour pouvoir gâcher l'anniversaire du roi. 

 MON AVIS : J'ai adoré ce livre parce que j'adore les histoires fantastiques. Parce qu'aussi Mathieu fait plein de bêtises. L'histoire est intéressante. Les mots ne sont pas difficiles à comprendre. Je mets une très bonne note même si je trouve que l''histoire est un peu courte.
20/20

EYMARD Julia

Il était une fois, au fond des bois

Auteur : Reade Scott Whinnem
Éditeur : Bayard Jeunesse

Cela se passe près d'un lac, ce sont des enfants d'environs quatorze ans. Ils se nomment Vivek, un garçon qui se croit le plus intelligent, Ronnie, un garçon qui est plutôt peureux, Jane, une fille normale, Emily, une fille très courageuse, Stuck, un garçon, et le Criquet surnommé ainsi parce que quand il était petit, il savait à peine marcher, qu'il savait déjà nager, comme un criquet.
Ces enfants font un feu de camp le soir. Ronnie leur raconte l'histoire de l'Enfant Épine. Malheureusement pour eux, cet enfant existe vraiment, et à partir de ce moment, les ennuis vont déferler sur eux.

Mon avis : J'ai aimé le livre parce que l'écriture est facile à lire et parce qu'il y a beaucoup d'actions. Les mots sont un peu compliqués. Par contre, je n'ai pas aimé quand il y a eu la description du chat qui se faisait tuer et des fois je ne savais pas trop si on était deux mois plus tard ou deux mois plus tôt. Le livre fait vraiment peur. Mais l'histoire était quand même très intéressante. Les personnages sont bien décrits. 
      
20/20

Julia 

jeudi 21 novembre 2013

Coup de coeur roman

 La fille dragon tome 1 L'héritage de Thuban

Auteur : Licia Troisi
Edition : Pocket Jeunesse

Sofia, une jeune fille de 13 ans s'ennuie à l'orphelinat de Rome. Un jour, un professeur d'ethnologie l'adopte. Il l'emmène chez lui et lui explique qu'elle est habitée par le puissant esprit d'un dragon. Elle va se faire une amie : Lidia qui elle aussi a un dragon dans son corps. Mais elles vont devoir combattre ensemble.

J' ai adoré le livre car l'histoire était intéressante et elle était facile à lire. Il y avait beaucoup d'action et de suspense. Je pense que ce livre est pour tous car il y a de l'aventure et c'est très fantastique. A chaque chapitre, il y a un dragon dessiné en haut de la page.
Je met la note de 20\20.

Marion








lundi 20 mai 2013

Et hop ! Un petit tour au salon du livre de Limoges (avril 2013)

      
L'équipe au complet
Les classiques ne se démodent jamais


L’ancêtre de l'imprimante. Pas toute jeune mais encore vaillante!
De belles reliures et magnifiques couvertures, un travail artisanal.
J'aimerais bien redevenir tout petit pour m'acheter toute la collec!


Toutes ces photos ont été prises par les élèves avec des tablettes numériques 7 pouces. Et chaque photo est légendée par un élève.

Rencontre avec Anne-Marie Desplat-Duc



Qu'est-ce qui vous a poussé à devenir écrivain? 
On ne m’a pas poussé à devenir écrivain, j’adore écrire et lire, c’est vraiment ma passion.

A votre avis, quelles sont les qualités nécessaires pour devenir écrivain?
 
Pour avoir une chance d'écouter cette petite vidéo, prenez des écouteurs :-)


Pourquoi écrivez-vous pour les jeunes? Ecrivez-vous aussi pour les adultes?
Non, je n’écris pas pour les adultes car cela ne m’intéresse pas. J’écris pour les jeunes parce que c’est un public que j’aime bien, et avec qui je suis à l’aise. Je suis écrivain jeunesse et contente de l’être!

Combien de temps mettez-vous pour écrire un livre ? Qu’utilisez-vous pour écrire ordinateur, machine à écrire, stylo?
Cela dépend du livre, pour un petit roman, je mets à peu près deux mois. En ce qui concerne les romans historiques comme les Colombes ou Adieu Julie, je mets environ 5 mois, car il me faut du temps pour faire toutes les recherches historiques. Maintenant j’écris directement sur l’ordinateur, car à une période de ma vie j’ai été secrétaire de direction, ce qui me donne un avantage sur mes collègues. Je sais parfaitement taper sur le clavier sans perdre de temps, aussi vite qu’arrivent mes idées.

Avez-vous un seul ou plusieurs éditeurs?
J’ai plusieurs éditeurs, non parce que je ne suis pas fidèle, c’est même le contraire!

Dans les Colombes, comment avez-vous choisi tous les prénoms des filles ?
En 1999, il y a eu à Versailles, une exposition sur la Maison royale d’éducation de Saint Cyr. N’habitant pas très loin, j’ai eu la chance d’y assister. Et là, ce fut magique, ils avaient reconstitué les robes des jeunes filles de l’époque, ils avaient retrouvé leurs livres et cahiers, les jeux de l’époque. C’est là que j’ai eu l’idée de raconter la vie de ces 250 pensionnaires puisque personne ne l’avait encore fait. Pour les prénoms, ils été tous répertoriés dans le catalogue de l’exposition, ce sont donc les vrais prénoms que vous retrouvez dans mes livres.

Aimeriez-vous que l’un de vos livres soit adapté au cinéma ou à la télévision? Lequel?

Oui j’aimerais beaucoup, surtout pour mes romans d’aventures. Mais cela ne dépend pas de moi, d’abord parce que je ne connais personne dans le milieu du cinéma ou de la télévision, et aussi parce que ce n’est que mon éditeur qui peut faire cette démarche car en signant un contrat avec lui, j’ai cédé tous mes droits à la maison d’édition. Mais je pense que les Colombes pourraient être adaptées au cinéma sans problème.

Comment avez-vous trouvé les noms de Félix Têtedeveau ?
Petite, quand j’étais en vacances chez mes grands-parents dans un petit village en Isère, le boucher de ce village s’appelait M. Têtedeveau. Et ça me faisait déjà bien rire quand ma grand-mère me disait "Viens, on va chercher le bifteck chez Têtedeveau". Et donc un jour j’ai voulu écrire une histoire pour expliquer que ce n’était pas très gentil de se moquer des personnes qui portent des noms pas faciles.

Avez-vous fait beaucoup de recherches pour écrire L’enfance du Roi Soleil ?
Oui, énormément ! Déjà parce que lorsque j’ai écrit les Colombes du roi Soleil, j’ai acheté beaucoup de documentation et pris beaucoup de notes sur mes livres documentaires. Or, il se trouve que dans ces livres j’avais beaucoup d’anecdotes sur Louis XIV disséminées par ci par là, et donc j’ai voulu regrouper toutes ces informations dans un seul livre. J’ai écrit ce livre à la première personne car je trouve que cela permet à l’auteur de rentrer vraiment dans la peau du personnage et d’exprimer des sentiments.


Y aura-t-il une suite au Colombes ?
Oui, je suis en train d’écrire le tome 13, mais je n’ai pas encore trouvé de titre. C’est très difficile de trouver un titre, car il faut qu’il accroche le lecteur, qu’il l’interpelle. Je passe donc souvent des journées entières à faire des listes, à mélanger des titres pour espérer trouver un bon titre.

Quel a été votre premier livre ?
Il s’intitule Le Minus aux éditions Milan, c’est un peu l’anti héros. Je m’étais rendu compte que dans la littérature de jeunesse, le héros était souvent un grand, un costaud, un bagarreur, et très souvent un mauvais élève et j’en avais assez de cette image. Donc, mon premier héros fut le plus petit de la classe, un maigrichon, un rêveur, il déteste la bagarre, bon élève et du coup il n’a pas d’ami. J’ai voulu montrer avec ce petit roman que dans la vie il n’y a pas que les gros malabars qui s’en sortent.

mardi 23 avril 2013

Nous avons rencontré l'auteur Jean-Luc Marcastel...



Aimiez-vous lire quand vous étiez petit?
Enormément, j’adore lire depuis tout petit, je pense que pour aimer écrire, il faut d’abord aimer lire. Et puis un jour, on a le déclique qui fait que nous aussi on a envie de raconter une histoire.

A l’école étiez-vous plutôt au fond de la classe à rêver ou devant à participer?
J’étais plutôt au fond de la classe en train d’écrire mes livres ! J’écrivais aussi la nuit au grand dam de mon papa qui me disait tout le temps d’éteindre la lumière. Quand je vous dis que cela devient un virus et qu’on ne peut plus s’arrêter, vous voyez à quoi cela peut mener !

A votre avis, quelles sont les qualités nécessaires pour devenir écrivain?

Pour avoir une chance d'écouter J-L Marcastel, prenez des écouteurs :-)

Exercez-vous un autre métier?
Il y a quelques années, j’étais enseignant en histoire géographie, mais j’ai arrêté car j’ai toujours voulu écrire et à l’époque j’avais commencé une série qui marchait bien, j’ai donc décidé de ne faire plus que ça.

Combien de temps mettez-vous pour écrire un livre ?
C’est variable, cela dépend de la taille du livre, par exemple Louis Legaloup  m’a pris un peu moins de temps, 6 mois que le Dernier hiver, environ 8 mois. Et La geste d’Alban m’a pris un an. Il  y a la taille qui rentre en ligne de compte mais pas seulement, car certain demande aussi plus de recherches que d’autre. Par exemple, en ce moment je suis en train d’écrire un livre qui se passe au Caire dans les années 30, donc pour ne pas écrire de bêtises, je me documente beaucoup sur cette époque. Par contre, ces durées ne correspondent qu’au premier jet, la première écriture sans correction, car après il y a toutes sortes d’étapes avant que le livre ne soit vraiment près pour partir chez l’éditeur.

Qu'utilisez-vous pour écrire : ordinateur, machine à écrire, stylo?
Un ordinateur ou une tablette, et quand j’ai vraiment des difficultés pour trouver mes mots ou un passage difficile à écrire, je reviens souvent au stylo, parce que je trouve qu’avec le stylo la pensée est moins freinée, c’est plus fluide que lorsqu’on tape sur un ordinateur, je pense que l’écriture à la main est plus spontanée. + vidéo 19 (mais pas tout)

Pourquoi avez-vous choisi l’époque du moyen-âge dans Louis Legaloup ?
Parce que c’est une période qui est propice aux légendes, aux univers imaginaires, et en tant qu’historien j’aime bien cette période. Et l’idée du livre Louis Legaloup m’est venue un jour par l’un de mes amis auteur de bande dessinée qui me demanda à l’époque si j’avais vu l’adaptation au cinéma du Seigneur des anneaux. Nous en sommes venus à parler des paysages magnifiques de Nouvelle Zélande, et je me suis dit que nous aussi, en France, nous avions des paysages magnifiques et des légendes à n’en savoir que faire. J’ai donc mélangé toutes ces histoires, et cela a donné Louis Legaloup.

En quoi le Limousin vous a-t-il inspiré ?
Il se trouve que la moitié de ma famille du coté de ma maman est limousine, originaire de Brive en Corrèze, et tous les étés avec mes cousins nous allions passer nos vacances dans une vieille maison de campagne près de Pompadour. Tous les soirs, quand il faisait un peu frais, on se réunissait autour d’un immense cantou (grande cheminée ouverte) pour se raconter des histoires qui font peur et la nuit nous dormions souvent dehors dans des tentes car la maison était trop petite pour tout le monde. Les tentes étaient juste à côté des bois, avec tous les bruits que vous pouvez imaginer, les craquements, le vent dans les arbres, ce qui finissait par nous faire très peur. J’ai gardé les souvenirs de ces soirées et j’ai eu envie de retrouver cette ambiance dans mes livres.

 Est-ce que certains termes spécifiques dans Louis Legaloup sont inventés ?
Petit rappel : Pensez aux écouteurs!

Le loup est-il votre animal préféré ?
Non, j’aime bien les loups, mais j’ai une préférence pour l’orque épaulard, d’abord parce que c’est un bel animal et il possède une intelligence surprenante.

Vous êtes-vous inspiré d’autres livres ?
Oui, mais pas consciemment, c’est pour ça que je dis souvent aux gens de lire plein de livres complètement différents, car nous sommes souvent influencés par nos lectures. Souvent aussi je m’installe à la terrasse d’un café et j’écoute les conversations autour de moi ou bien je remarque certaines personnes qui ont une « gueule » pour m’en servir dans mes livres.

Pourquoi vos livres sont-ils si dramatiques et sombres ?
En particulier dans le Dernier hiver, c’est vrai. Peut-être parce que je pense que la lumière ne brille jamais aussi bien que dans les ténèbres. C’est un livre sur l’espoir, sur l’humanité qui survit malgré tout. Dans ce livre j’ai voulu plonger les gens dans l’obscurité pour voir comment ils révélaient le meilleur d’eux-mêmes. Au milieu de la pire des adversités, c’est un message d’espoir.

Quel sera le titre de votre prochain livre ?
Ce sera le deuxième tome de La geste d’Alban qui devrait sortir en juin 2013, le sous-titre sera « L’ombre de Montsalvie », un autre livre sortira  aussi aux éditions Hachette en automne, le titre devrait être Un monde pour Clara, et l’année prochaine, une trilogie sortira aux éditions J’ai lu et qui devrait s’appeler Les enfants des (nébus ?).

Quel est votre livre préféré?
C’est une question difficile car j’en ai plusieurs et j’ai du mal à choisir. Alors je dirais La plaie de Nathalie C. Henneberg, c’est un livre assez sombre et poétique que je relis régulièrement.

Est-ce que vous alliez au CDI quand vous étiez au collège?
Oui, j’y passais beaucoup de temps. Généralement pendant les heures d’étude j’allais au CDI soit pour lire, soit pour écrire, comme ça je ne faisais pas de bruit. Il y avait toujours quelque chose à découvrir.

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